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Ricardo Pires

apprenti boucher-charcutier (2018)

«J’aime les relations avec mes collègues, le soutien de la centrale, le bon suivi garanti par la formation professionnelle.»

Portrait Ricardo Pires

Il a le sourire rayonnant de ceux qui se sentent bien où ils sont. Ricardo Pires est tout jeune, mais il a montré qu’il savait déjà bien prendre sa vie en main. Et il a trouvé à Migros Valais un cadre idéal pour s’épanouir professionnellement.

 

Ricardo Pires, raconte-nous ton parcours à Migros.

J’ai commencé à Sion Tourbillon Center avec un préapprentissage d’assistant du commerce de détail, suivi d’un apprentissage de deux ans dans ce domaine. J’ai obtenu mon attestation fédérale de formation professionnelle au mois de juillet dernier. Quelques jours plus tard, je commençais mon apprentissage de boucher-charcutier au Forum des Alpes, à Conthey.

Pourquoi avoir choisi cette entreprise?

Mes parents ont toujours fait leurs courses à Migros Tourbillon Center, à Sion. Quand je les accompagnais, je voyais que tout le monde dans le magasin était serviable et semblait heureux de travailler. C’était ce que je voulais pour ma vie professionnelle: être content. Et ça s’est passé comme je l’espérais. J’ai été super bien accueilli. Le matin, ça me plaisait de me réveiller et de me dire que j’allais travailler et revoir mes collègues.

Pourquoi avoir fait un préapprentissage?

Cette année m’a permis de me mettre dans le monde du travail et de bien me préparer à l’apprentissage. Cela m’a aidé à m’engager.

Et qu’est-ce qui t’a motivé à faire deux apprentissages ensuite?

Pendant le premier apprentissage, j’ai pu découvrir tous les secteurs de l’entreprise. Je suis resté quelques semaines à la boucherie et ça m’a beaucoup plu. Quand j’ai eu mon AFP, on m’a proposé une place de responsable de rayon. Tu sais, Migros m’ouvre beaucoup de portes pour mon avenir. Mais j’ai préféré faire un apprentissage de boucher. J’ai fait une demande, qui a été facilement acceptée.

Tu n’as pas cherché à le faire ailleurs?

Non. J’ai choisi de rester à Migros parce que j’ai aimé les relations que j’avais avec mes collègues, le soutien de la centrale, le bon suivi garanti par le service de formation, etc. Bref, l’entreprise me plaît. Et je sais qu’ici, je ne vais pas avoir de souci.

Qu’est-ce qui te plaît dans la boucherie?

Comme je l’ai dit à mon chef: ce n’est pas un métier, c’est de l’art. On fait plein de préparations et on utilise beaucoup la créativité. J’adore ça. On fait des marinades, on dresse des assiettes de charbonnade, on imagine de jolies présentations pour attirer les clients vers la banque à service, on décore les plats, c’est excellent.

As-tu des interactions avec les autres entreprises de boucherie du Groupe Migros?

Oui, et c’est bien de pouvoir aussi compter sur d’autres entreprises dans le groupe pour apprendre. Par exemple, en magasin, on fait peu de désossage. Alors cette semaine, je suis un cours de désossage dans l’entreprise Merat, qui a ses locaux dans la centrale de Migros Valais, à Martigny.

Est-ce qu’on ne t’aurait pas déjà croisé au salon des métiers et de la formation professionnelle Your Challenge?

Oui, c’est exact! Cette année, j’étais sur le stand pour représenter Migros et présenter mon métier. J’ai beaucoup aimé ce contact. Les jeunes posaient beaucoup de questions. La plupart d’entre eux pensaient qu’il n’y a que des vendeurs à Migros. Je leur ai expliqué qu’il y a aussi des bouchers, des polydesigners 3D, ainsi que plusieurs autres professions.

Quel conseil donnerais-tu à un jeune qui va commencer un apprentissage?

Migros ouvre beaucoup de portes; c’est une des meilleures entreprises formatrices. J’étais en état de difficulté scolaire, j’avais peur de sortir du cycle et de ne pas savoir que faire, mais Migros m’a permis de bâtir mon avenir.